
Cercle Wine Business Club : un modèle de networking qui séduit les dirigeants depuis plus de 30 ans
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Cercle Wine Business : pourquoi de plus en plus d’ETI et PME rejoignent ce réseau d’affaires haut de gamme ?
Depuis plus de trente ans, le Cercle Wine Business, fondé par Alain Marty, incarne un modèle de networking haut de gamme en France et en Europe.
Dans les salons feutrés de l’Hôtel Le Bristol, à Paris, l’agenda des dirigeants ne se résume pas à des chiffres et des bilans. Ici, les échanges se nouent autour d’un verre de champagne, d’un morceau de pain Poilâne ou d’un armagnac millésimé.
Le 10 septembre dernier, le Cercle Wine Business a de nouveau démontré la force d’un modèle qui, depuis plus de trente ans, marie conférences économiques et convivialité gastronomique.

Fondé en 1991 par Alain Marty, le club réunit aujourd’hui plus de 1 100 chefs d’entreprise et continue d’attirer, chaque mois, près d’un millier de participants dans quinze villes en France et à l’international.
La soirée, parrainée par le groupe Armonia, s’est ouverte par une conférence sur les mutations de l’hospitality et du facility management. Télétravail, aménagement des espaces, quête de motivation et de sens : autant de thèmes directement liés aux préoccupations actuelles des entreprises.
Pour Sophie Auger-Mongenot, directrice générale d’Armonia, l’expérience va bien au-delà d’une simple rencontre :

« J’y trouve un véritable espace d’échanges et de rencontres. Même si je ne bois pas d’alcool, ce qui peut surprendre dans un Wine Business Club, j’apprécie la richesse des discussions et la visibilité que cela offre à notre groupe. »

Vint ensuite le temps des dégustations, véritable signature du Cercle Wine Business. Champagne Deutz, rosés du domaine d’Apronie, armagnac Delord présenté par Jérôme Delord, pains Poilâne servis par Apollonia Poilâne elle-même : un cérémonial qui conjugue prestige, savoir-faire et convivialité.
Dans ce cadre, les conversations se poursuivent autrement, au fil des verres et des assiettes, où les cartes de visite circulent autant que les plateaux.

La séquence d’interventions a donné la mesure de la diversité des mondes que le club business met en relation.
- Karine Havas, nouvelle présidente de Bureau Veritas, y faisait sa première sortie officielle
- Jean-Baptiste Thélot présentait ses perspectives à la tête de Sofinord
- Pascale Roumilhac, DG Un Lundi au Soleil
- Cyril BARANES, Directeur Général de Enfin Lundi
- François-Michel Lambert, ancien député, plaidait pour l’économie circulaire
- Guillaume Gomez, après vingt-cinq ans passés en cuisine à l’Élysée, évoquait ses souvenirs auprès de quatre présidents et présentait son livre À la table des présidents.
- Enfin, Fabrice Herrault, directeur général du Paris FC, détaillait les ambitions du club et l’arrivée d’investisseurs issus de la famille Arnault.
« C’est l’occasion de rencontrer d’autres entreprises issues de secteurs très différents », confiait un dirigeant membre du réseau d’affaires.
« Chaque invité a un parcours, une histoire de vie originale, et cela permet de faire de belles découvertes. »

La soirée s’est conclue par un dîner gastronomique orchestré par le chef triplement étoilé du Bristol. Un moment de haute gastronomie où les accords mets et vins ont offert un écrin raffiné aux débats de la soirée.
Guillaume Gomez, cette fois parmi les convives, saluait « un public de qualité, des discussions passionnantes, une organisation impeccable : tout était réuni pour faire de cette soirée un succès ».

Au-delà de l’apparat, la mission reste claire. Le Cercle Wine Business entend consolider les liens entre dirigeants dans un contexte où l’incertitude économique fragilise la confiance.
Ses membres sont à 72 % des entreprises de taille intermédiaire, ces ETI qui jouent un rôle stratégique dans la compétitivité française, aux côtés de grands groupes et de PME plus modestes.

« Dans une période de crise et de doutes, les entrepreneurs doivent plus que jamais se serrer les coudes », insiste Alain Marty. « Le networking reste un outil essentiel. Ensemble, nous serons plus forts. »

Le succès de la soirée du Bristol, malgré les perturbations liées à la grève, illustre la résilience de ce format. Entre une conférence sur l’avenir du travail et un verre d’armagnac, entre une réflexion sur l’économie circulaire et un dîner étoilé, le Cercle Wine Business continue de prouver que les affaires se nourrissent autant de confiance et de rencontres que de stratégies et de chiffres.
Dans le monde économique actuel, il rappelle une évidence : la convivialité peut être un levier puissant pour construire du solide, du durable, et parfois même du décisif.
Reportage photos : soirée du 10 septembre du Cercle Wine Business
























































