La FIDUCIAL Astéria, nouveau lieu phare du spectacle vivant à Lyon
FIDUCIAL Astéria : la nouvelle étoile culturelle et économique de la métropole lyonnaise
En ouvrant la FIDUCIAL Astéria, Lyon se dote d’un nouveau phare culturel au service de la création et de l’économie.
Il est un moment suspendu, juste avant que les lumières ne s’éteignent. Un battement de cœur collectif, trois mille souffles retenus, et puis le choc : la basse, la lumière, la foule.
Le jeudi 30 octobre 2025, à Décines-Charpieu, au cœur d’OL Vallée, la FIDUCIAL Astéria a pris vie. Sous les beats électrisants de Busy P, Kungs et Tatyana Jane, la nouvelle salle de spectacle lyonnaise a inauguré son ère avec fracas.
La promesse ? Vivre l’émotion au plus près des artistes. Et, au-delà, redonner à la culture son rôle d’amplificateur économique.
FIDUCIAL Astéria n’est pas une salle de plus dans un paysage saturé d’arénas et de Zéniths. C’est un manifeste. Une déclaration d’amour à la scène, mais aussi à la métropole lyonnaise qui ne cesse de repousser les frontières de son attractivité.
Ici, tout a été pensé pour effacer la distance entre l’artiste et le public, pour que la vibration circule, pure, immédiate. 1 500, 2 000, 3 500 places selon les configurations : une taille modulable, une âme constante.
Dès l’entrée, le ton est donné. Sous un plafond lumineux de douze mètres signé par l’agence lyonnaise TETRO et l’artiste-architecte Nicolas Paolozzi, les visiteurs avancent dans une pluie d’étoiles animées. Des centaines de points lumineux qui s’allument, s’éteignent, respirent au rythme du lieu. Le spectacle commence avant même la scène. Astéria porte bien son nom : celui de la déesse grecque des étoiles.
Derrière cette création, deux acteurs à la même fréquence : FIDUCIAL, groupe français de services aux entreprises, et ThrillStage, société exploitante de la LDLC Arena. Ensemble, ils ont fait le pari de l’émotion comme stratégie. Une émotion maîtrisée, durable, presque entrepreneuriale.
Alexandre Aulas, président-directeur général de ThrillStage, résume la philosophie du lieu :
« Nous avons voulu créer un espace où chaque performance devient une expérience. Pas un simple divertissement, mais une rencontre. »
Et c’est peut-être là la clé : à Lyon, la culture devient territoire, la salle devient écosystème. Car derrière les projecteurs, c’est tout un réseau économique qui s’active — techniciens, scénographes, agences, restaurateurs, partenaires, startups. La FIDUCIAL Astéria ne fait pas seulement briller les artistes : elle irrigue un tissu local qui mêle innovation, création et business.
Fidèle à sa mission de valoriser les talents du territoire, la salle offre aussi une scène à ceux qui font battre le cœur culturel de la région. Dans ce coin de la métropole, entre le Groupama Stadium et la LDLC Arena, se dessine peu à peu un véritable cluster du spectacle vivant, une Silicon Valley de l’émotion.
Le pari est audacieux, mais assumé. FIDUCIAL, connu pour ses activités comptables, juridiques et technologiques, inscrit ici son nom sur un lieu de création. Un choix inattendu, presque poétique, qui raconte une conviction : l’économie et la culture ne s’opposent pas, elles s’élèvent ensemble. Dans un monde où l’immatériel devient valeur, investir dans l’émotion, c’est investir dans l’avenir.
Lyon, déjà forte de son ADN industriel et de sa vitalité numérique, se dote ainsi d’un nouvel instrument pour séduire, retenir, rayonner. La FIDUCIAL Astéria s’ajoute à un ensemble cohérent où sport, musique et innovation dialoguent.
Ici, l’expérience prime. Le spectateur ne consomme plus, il vit. L’artiste ne performe plus, il partage.La programmation des prochains mois annonce déjà la couleur : Ofenbach, Kompromat, Avatar et d’autres viendront prolonger la promesse d’une scène vibrante et exigeante.
Mais au-delà des têtes d’affiche, c’est tout un souffle qui s’installe : celui d’une France qui croit encore en ses talents, en ses artisans de l’émotion, en sa capacité à faire de la culture une force économique.
Quand les lumières se rallument, le public reste un instant figé, comme suspendu. On parle de la qualité du son, de la scénographie, de la proximité. Mais derrière les mots, c’est autre chose qu’on ressent : la sensation rare d’avoir assisté à la naissance d’un lieu vivant.
La FIDUCIAL Astéria ne se contente pas de programmer des concerts. Elle écrit un récit. Celui d’une ville qui avance à contretemps, les yeux tournés vers ses étoiles.
