
BRUME ORPIN : Une Nouvelle Vision de la Parfumerie au Printemps Lyon
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Le Printemps Lyon, nouveau point de vente stratégique pour BRUME ORPIN
BRUME ORPIN, un acteur émergent dans la parfumerie de niche, démontre la viabilité d’un modèle d’affaires alliant rentabilité et responsabilité sociale et environnementale.
Dans un contexte où le luxe se cherche un nouveau souffle, entre exigences écologiques, relocalisation industrielle et quête de sens, la Maison BRUME ORPIN impose une vision singulière.
Créée par Tiphaine Cogez Cousseau, cette maison de haute parfumerie engagée redéfinit les contours de l’excellence à la française : locale, durable, sensorielle.
Dès mi-juillet, elle sera disponible au Printemps Lyon, signe que sa discrète montée en puissance séduit au-delà des cercles initiés.
Depuis son lancement au Printemps Haussmann à Paris en novembre 2024, BRUME ORPIN a progressivement étendu sa présence à Marseille, en Italie via 14 points de vente spécialisés, et désormais à Lyon.
Limplantation à Lyon revêt une dimension personnelle pour Tiphaine Cogez Cousseau, qui y réside et s’y sent profondément attachée.

Prix de l’Innovation Responsable : Catégorie Espoir de la parfumerie : Theor de BRUME ORPIN
BRUME ORPIN reçoit le Prix de l’Innovation 2025 de The Fragrance Foundation France, dans la catégorie Espoir de la parfumerie, pour THEOR
Récompensée par l’institution de référence du secteur, BRUME ORPIN confirme sa place singulière dans le paysage de la haute parfumerie française.
La Maison a reçu cette année le Prix de l’Innovation décerné par The Fragrance Foundation France, dans la catégorie « Espoir de la Parfumerie », pour sa fragrance THEOR.
Ce prix salue une démarche radicalement repensée de la création olfactive :
- formulation 100 % biodégradable,
- limitation des allergènes,
- utilisation d’ingrédients sourcés localement (France, Europe, bassin méditerranéen)
- et recours à la chimie verte pour enrichir la palette sans compromis sur l’éthique.
Chaque élément du produit incarne cet engagement : flacon rechargeable en verre recyclé teinté masse, bouchon en caséine de lait, coffret en liège expansé, peinture biosourcée à base d’algues.
THEOR, à la fois signature sensorielle et manifeste de la Maison, incarne une parfumerie nouvelle génération, où excellence et responsabilité avancent de concert.
Ce prix vient consacrer quatre années de recherche et de rigueur artisanale, et confirme que BRUME ORPIN n’est plus une promesse, mais une référence en devenir.

Tout, chez BRUME ORPIN, repose sur un refus assumé des standards dominants. Pas de pétrochimie, pas de surpackaging, pas de storytelling plaqué. À la place, une exigence quasi artisanale dans le choix des ingrédients, des matériaux et des partenaires.

Chaque fragrance est élaborée à partir de composants naturels, cultivés en France, en Europe ou autour du bassin méditerranéen, selon une logique de sourcing court, traçable et propre.
La Maison collabore avec Symrise, acteur majeur de la chimie verte, pour concevoir des compositions innovantes, limitées en allergènes, issues de molécules biomimétiques comme Pearadise®, Ecomusk® ou Diviniris®.
Ce sont des captifs olfactifs qui permettent de contourner les ingrédients à risque tout en ouvrant de nouveaux territoires créatifs.

Mais c’est surtout du côté de la fabrication que BRUME ORPIN bouscule les lignes.
Le flacon est en verre recyclé teinté masse, fabriqué en Normandie par Pochet. Son bouchon est conçu en galalithe, une matière issue de la caséine de lait, usinée dans le Jura.
L’écrin, quant à lui, est une boîte sculpturale en liège expansé produit au Portugal et transformé dans les Landes, recouverte d’une peinture à base d’algues mise au point en Bretagne par Algo Paint.
Le papier Canson, utilisé pour les habillages, provient d’Ardèche. Tous ces éléments sont biodégradables, compostables ou rechargeables. Ce parti pris de fabrication intégralement relocalisée reflète une volonté stratégique : celle de bâtir un modèle de luxe résilient, frugal, mais désirable.
Ce modèle économique, BRUME ORPIN le pense à rebours du court-termisme.
La maison n’a pas levé de fonds, ne pratique pas le discount, ne cherche pas le volume. Elle vise un public restreint, éclairé, prêt à investir dans des produits à haute valeur culturelle, esthétique et environnementale.
Les flacons de 80 ml sont proposés à 175 € pour l’eau de toilette et 195 € pour l’eau de parfum.
Les bougies rechargeables, à 68 €, s’inscrivent dans cette même logique de longévité et de réutilisation. Le coffret découverte à 45 €, avec cinq roll-on, permet une entrée plus accessible dans l’univers de la marque.

Chaque parfum raconte une scène de vie, un souvenir olfactif sublimé par l’art de la composition.
LEAU réinvente la fraîcheur sans agrumes, par un accord carotte-fenouil-galbanum.
THEOR évoque le lien familial sur fond de son de blé, peau, bois clair et musc poudré. ORATOA, plus introspectif, marie rose marocaine, rose bulgare et cuir ambré dans une signature à la fois douce et structurée.
ODOSMAN, hommage à Paris, s’ancre dans le cuir et le jasmin.
CADE se souvient des étés méditerranéens dans un accord thym, jasmin, cyprès.
Quant à ODENUI, il assume une sensualité nocturne et veloutée, entre pêche, freesia et ambroxan.
Ce souci de cohérence va jusqu’à l’image. Pas de campagne tapageuse ni d’égérie, mais des visuels sobres, lumineux, signés Nathalie Baetens, photographe sensible aux textures naturelles et à la lumière brute.
Cette direction artistique renforce la dimension intemporelle de la marque : ici, tout est pensé pour durer, rien n’est jetable, ni en matière ni en message.

L’arrivée de BRUME ORPIN au Printemps de Lyon n’est donc pas anodine. Elle témoigne de l’intérêt croissant du secteur retail pour des marques porteuses de récits forts, capables de fédérer autour d’un luxe plus intelligent.
Le grand magasin y gagne une offre différenciante ; la Maison y trouve une vitrine cohérente avec son exigence esthétique et ses valeurs.
Dans une industrie du parfum qui multiplie les lancements mais dilue souvent le propos, BRUME ORPIN joue une autre carte : celle du luxe pensé comme acte d’attention. À la matière. Au temps. À la terre. Et à la peau.